Johanna Schipper ayant fort bien résumé les tenants et les aboutissants de cette très sombre histoire, je vous invite à lire son malicieux article Lost in the buzz.
Le Collectif des créatrices de BD contre le sexisme, dont nous faisons partie, elle et moi, avait été le premier à soulever le lièvre. Les jours qui ont suivi lui ont donné à plusieurs reprises l'occasion de s'étrangler de rage ou de se sentir très fatigué, subitement...
Tout ça pour dire que je ne serai pas à Angoulême cette année. Deux rendez-vous à ne pas manquer cependant, si vous êtes de passage dans cette bonne ville pendant le FIBD :
- l'événement ludique organisé par le Collectif des créatrices de BD contre le sexisme, Trait féminin, trait masculin : venez deviner qui a dessiné quoi ! (exposition virtuelle et discussion avec notamment Aurélia Aurita, Mathilde Domecq, Gaëlle Hersent, Mirion Malle, Lisa Mandel, Julie Maroh, Emilie Plateau et Natacha Sicaud), le samedi 30 de 16h à 17h, à l’auditorium du Conservatoire
- la deuxième session des États Généraux de la Bande Dessinée, dimanche 31 janvier, de 11h45 à 13h15, Salle Luis Buñuel, Espace Franquin.
Festival d'Angoulême, 1983 :
je dédicace mon tout premier album, Ringard !
Derrière moi, de dos : Étienne Robial
À ses côtés, forever dandy,
le regretté André Strobel
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire