J'ai reçu hier le numéro 32 des Allumés du Jazz. Comme d'habitude, j'y ai illustré la chronique de Jean-Louis Wiart, intitulée L'œil écoute.
Vous comprendrez mieux les raisons de cette curieuse image quand vous saurez que Jean-Louis Wiart s'attache à trouver des parentés entre peinture et musique, dans leur rapport à l'implication du corps. Ce qui l'amène à nous parler de Fabienne Verdier d'une part et de Keith Jarrett de l'autre. Tous deux jouant debout, l'une du pinceau, l'autre du piano ; et poussant l'art de l'improvisation dans ses ultimes retranchements.
Cadeau ! Fabienne Verdier dans cet extrait de Flux de Philippe Chancel...
et Keith Jarrett en concert solo à Tokyo en 1984.
Les Allumés du Jazz sont quant à eux un cadeau permanent puisqu'ils sont gratuits, par abonnement, téléchargement et dans les lieux de dépôt habituels. Pour en savoir plus et apprendre qui sont ces mystérieux Allumés, une seule adresse, celle de leur site.
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